ASSEMBLEE GENERALE 2022

DE LA SECTION DE JUMELAGE 

COUTANCES/LA POCATIERE

14 JANVIER 2022 à 20h 30

Mairie de Coutances - Salle A1

Alstom La Pocatière

 Une bonne nouvelle pour les travailleurs d’Alstom à La Pocatière

·         03/06/2021

Stephanie Gendron

David Van der Wee, directeur général, matériel roulant et composantes pour les Amériques d'Alstom.

Photo : Maxime Paradis.

Une commande de tramways à Toronto fera travailler les employés de l’usine d’Alstom à La Pocatière.

Cela permet de maintenir 200 emplois pour l’usine à La Pocatière, cols blancs et cols bleus confondus. Les employés travailleront sur certains sous-ensembles de composants.

« Vraiment une très bonne nouvelle. Cette annonce va vraiment dans le sens de l’engagement qu’Alstom a pris avec l’usine de La Pocatière. Tous les contrats pour l’usine sont bons », a fait valoir le représentant des travailleurs Claude Michaud.

Alstom fournira 60 Flexity, des véhicules légers sur rail, à la Toronto Transit Commission (TTC), dans le cadre d’un contrat de plus de 275 millions d’euros.

Le contrat débutera à l’automne 2021, avec une cadence au maximum en juin 2022. Le tout devrait être complété à la fin de l’automne 2023.

À ce jour, 204 tramways ont été livrés à la TTC. La nouvelle commande de 60 tramways permettra de maintenir des emplois et le savoir-faire, plus particulièrement sur le site Alstom de Thunder Bay, qui a réalisé le montage et les tests des précédents tramways.

« Le projet de tramways sera réalisé avec l’aide des sites Alstom de Saint-Bruno et de La Pocatière qui se chargeront, respectivement, de la gestion du projet et de certains sous-ensembles de composants. Il permettra à Alstom de maintenir 400 emplois dans les installations de Thunder Bay et de La Pocatière », a précisé Alstom par voie de communiqué.

Maxime Paradis

 La plume journalistique de Maxime Paradis reconnue

01/06/2021

Stephanie Gendron

 

Maxime Paradis.

 

Journaliste au Placoteux, Maxime Paradis a obtenu rien de moins que sept prix aux récents Grands prix des hebdos 2021, dans la catégorie des hebdos de moins de 36 pages. Il s’agit du journaliste le plus reconnu au Québec dans cette catégorie.

Il a remporté un premier prix en opinion (Le jour de la marmotte), en éducation (Des finissantes en zoothérapie en action à l’aéroport), en sports et loisirs ex aequo (70 ans et toujours sur les tatamis) et en environnement et agroalimentaire (Faire de l’élevage éthique et responsable à l’ère du véganisme). Il a aussi remporté une deuxième place en Économie et finances (Une coopérative pour assurer une relève aux marchands) et deux troisièmes prix dans les catégories affaire municipale (S.O.S Eau ferreuse) et Dossier/Reportage (Derrière la ligne de feu).

Félicitations Maxime, de toute l’équipe du Placoteux.

 

Article du Placoteux du 25 mars

 

Enseignement à distance pour toutes les écoles primaires et secondaires du CSS de Kamouraska-Rivière-du-Loup jusqu’au 5 avril inclusivement

Journal Le Placoteux

                              École polyvalente de La Pocatière. Photo : Maxime Paradis.

À la suite de l’analyse de l’enquête épidémiologique révélant la présence de variants et le nombre de cas en augmentation, le Centre de services scolaire de Kamouraska-Rivière-du-Loup applique la recommandation de la Santé publique et procède à la fermeture de toutes ses écoles primaires et secondaires du 26 mars au 5 avril inclusivement. Les services de garde seront fermés pour les mêmes raisons. 

L’ensemble des élèves vont poursuivre leurs apprentissages à distance jusqu’à cette date. 

Cette décision ne vise pas le secteur de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes, car les observations pertinentes quant au nombre de cas dans ces secteurs ne s’y sont pas manifestées.

Pour le Centre de services scolaire de Kamouraska–Rivière-du-Loup, la priorité demeure la santé des élèves et de son personnel. Il continuera de suivre la situation de près en collaboration avec les autorités régionales de la Santé publique.

COVID-19 : Les écoles du secteur de La Pocatière fermées

 

COVID-19 : Les écoles du secteur de La Pocatière fermées

Le Placoteux Maxime Paradis le 23 mars 2021

Ecole Sacré-Coeur à La Pocatière. Photo : Maxime Paradis.

La Direction de la santé publique du CISSS du Bas-Saint-Laurent rapporte 30 cas de variants à la COVID-19 sur son territoire, dont quatre hospitalisations. Au Kamouraska, ces variants ont été identifiés chez des enfants fréquentant les écoles du secteur La Pocatière, forçant le Centre de services scolaire de Kamouraska–Rivière-du-Loup à procéder à leurs fermetures.

En raison de ces éclosions, le Centre de services scolaire de Kamouraska–Rivière-du-Loup annonçait en fin de journée la fermeture temporaire des écoles du secteur de La Pocatière, soit celles de l’Orée-des-Bois à Sainte-Louise, de la Marée-Montante à Saint-Roch-des-Aulnaies, de la Pruchière à Saint-Pacôme, des Vents-et-Marées à Rivière-Ouelle, de l’Amitié à Saint-Gabriel-Lalemant, de l’école polyvalente La Pocatière ainsi que du Centre de formation générale des adultes de La Pocatière. Ces fermetures sont effectives jusqu’au 26 mars inclusivement.


Le « snow art » du Collège impressionne de nouveau

 

Maxime Paradis dans le placoteux

SAMEDI, 23 JANVIER 2021 / PUBLIÉ DANS À LA UNECULTUREL

Le « snow art » du Collège impressionne de nouveau


Le gigantesque dessin réalisé sur la surface enneigée du terrain de football du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière, communément appelé « snow art », suscite de nouveau la fascination cette année. L’œuvre est l’initiative de l’enseignant en éducation physique Norbert Roy, avec la complicité de Carl Belhumeur et ses élèves.

Un premier « snow art » avait été réalisé au même endroit l’an dernier. L’engouement qu’il avait suscité auprès de la population sur les médias sociaux ainsi que les élèves et les membres du personnel du Collège l’a incité à récidiver cette année.

« Le résultat est encore meilleur que l’an dernier. Je crois bien que ça va devenir une tradition annuelle », a-t-il confié d’entrée de jeu.

L’idée de départ était toutefois d’impliquer davantage les élèves dans la conception du croquis initial, reconnaît l’enseignant. La COVID-19 et les complications qu’elle occasionne ont toutefois forcé Norbert Roy à limiter la participation de ses élèves au simple traçage du dessin.

« C’est beaucoup de travail en amont avant d’en venir à réaliser le croquis », raconte celui qui a passé des heures sur le web à regarder des vidéos de « snow art » et différents modèles de mandalas avant d’en venir au dessin actuel.

L’enseignant en mathématique Carl Belhumeur s’est aussi impliqué étroitement dans le projet, ajoute-t-il, ce dernier ayant la responsabilité de valider les angles du plan et de coordonner avec lui la réalisation du croquis par les élèves. Un ensemble de balises a d’ailleurs été installé par le tandem dans l’objectif de guider les élèves dans le traçage du motif sur le terrain.

« Juste ça, c’est un travail de cinq à six jours en amont », a déclaré l’initiateur du projet.

28 élèves

Un groupe entier de 28 élèves de 3e secondaire de l’option éducation physique a contribué à concrétiser l’œuvre. Reliés l’un à l’autre par un système de cordes, leurs déplacements étaient ensuite encadrés pour permettre la création du motif actuel.

« Je travaille actuellement un deuxième motif que je ferais tracer par les élèves du deuxième groupe de l’option », poursuit l’enseignant.

Le motif serait dessiné sur le terrain voisin qui a déjà été balisé et qui est également la propriété du Collège. Les conditions idéales doivent toutefois être au rendez-vous pour qu’il se concrétise.

« Ça prend suffisamment de neige et pas de gros vent. Lundi (18 janvier), s’il n’avait pas neigé durant la fin de semaine, on n’aurait jamais pu faire le traçage du premier croquis avec les élèves », conclut Norbert Roy, qui compte justement continuer d’entretenir le premier motif avec des collègues le plus longtemps possible, tant que les conditions météorologiques le permettront.

 

Nicolas F. Paquin convie la population à un rendez-vous virtuel quotidien

 

2021 01 16 Le Placoteux

Maxime Paradis

SAMEDI, 16 JANVIER 2021 / PUBLIÉ DANS À LA UNECULTUREL

Nicolas F. Paquin convie la population à un rendez-vous virtuel quotidien


L’auteur et conteur de Saint-Roch-des-Aulnaies Nicolas F. Paquin convie virtuellement les curieux dans son univers de création, depuis le 11 janvier dernier. Intitulée L’Heure H, cette incursion quotidienne à la « Big Brother » vise à susciter les échanges entre le public et l’artiste en direct, tout en stimulant la création d’un monologue portant sur l’histoire d’un soldat mort lors de la Deuxième Guerre mondiale.

Nicolas F. Paquin a appelé cette démarche inhabituelle « créa-réalité », le tout se déroulant sous les yeux du public tous les soirs sur sa page Facebook par le biais d’une diffusion en direct. L’idée lui a été inspirée par l’imposition d’un couvre-feu par le gouvernement, mesure qui a été aussi appliquée au Québec durant la Deuxième Guerre mondiale, cette période historique qui ne cesse d’inspirer l’auteur.

« Dans le fond, c’est une expérience culturelle contraire à ce qui est habituellement offert que je propose au public. Plutôt que de consommer l’œuvre une fois qu’elle est terminée, je propose aux gens d’en être partie intégrante dès le début du processus de création », résume-t-il.

Son désir est de créer un monologue sur un soldat mort à la guerre, Jean-Charles Labrecque de Saint-Casimir, village de la région de Portneuf d’où Nicolas F. Paquin tire ses origines. L’œuvre doit s’inscrire dans la continuité d’un texte souche tiré du livre Les îles de la Nuit du poète Alain Grandbois, ancien voisin de Jean-Charles Labrecque et dont le recueil a été publié en 1944. Au terme du processus de création, le conteur de Saint-Roch-des-Aulnaies aimerait enregistrer le monologue et l’offrir au public.

« Je n’aurais jamais pensé faire ça, me lancer sans filet de la sorte. Il faut être très discipliné pour s’astreindre à créer en direct tous les jours à la même heure devant public, entre trente minutes et une heure. La réalité, c’est que certaines des histoires que je raconte depuis quelques années ont parfois mis trois ans à se créer », ajoutant vouloir poursuivre l’exercice pour toute la durée du couvre-feu, au moins jusqu’au 8 février.

Premières

Deux diffusions effectuées durant la première fin de semaine du couvre-feu ont déjà permis de rassembler une quarantaine de personnes. La première officielle s’est déroulée le 11 janvier et a suscité pas moins de 122 commentaires.

Parmi eux, un passionné de généalogie s’est proposé de réaliser celle du soldat mort. D’autres se sont permis de questionner l’auteur sur sa démarche artistique, lui qui ne se définit pas comme un historien, encore moins comme un conférencier.

« C’est une façon de mettre l’artiste en relation avec son public. Après des mois de confinement et de restrictions, c’est une façon comme une autre de briser son isolement et de ne pas seulement s’abandonner à ce qui est présenté à la télé. On verra bien si l’engouement va demeurer jusqu’à la fin. »