Heureusement l'effaroucheur est en poste !


Ils font le bonheur des ornithologues et annoncent le printemps. Les oiseaux migrateurs ne font pas que des heureux. Les grandes oies des neiges et les bernaches peuvent faire beaucoup de ravages dans les champs des agriculteurs. Heureusement, ces derniers peuvent compter sur un important allié : l'effaroucheur.
Un texte d’Annie Hudon-Friceau


Des bernaches

Pour en savoir plus cliquez sur ce lien :

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1027814/effaroucheur-oiseaux-champ-terre-agricole-oie-blanche-bernache-outarde-mais-chasse


"Des Hurons aux Canadiens d'aujourd'hui"

Samedi 13 mai 2017 à 15h00,
à la Chapelle Jean de Brébeuf (La Boissaie)
à Condé sur Vire.
l'association " Les amis de Jean de Brébeuf" propose une conférence :
 "Des Hurons aux Canadiens d'aujourd'hui".
 
Monsieur MOUGEON, linguiste canadien de Toronto, présentera l'évolution de la langue française au Canada, celle des métis francophones, qui découle des échanges entre colons français, missionnaires (Jean de Brébeuf, frères et compagnons) et les tribus amérindo-huronnes.
 
 
Plus d'informations auprès de M AUBRY : 02 33 57 62 74 ou E LENEVEU 02 33 56 69 14.
 
 
 
Et n'oubliez pas, 
le soir même,
le fameux "Fish and chips" de la section de Ilkley,
billets à acheter auprès des membres de cette section.
 

Justin Trudeau à Courseulles sur mer

L’émouvante visite de
Justin Trudeau,
en famille à Juno Beach
Paris Match - Publié le 11/04/2017 - Pphotos : Charly Triballeau

Justin Trudeau était lundi à Courseulles-sur-mer, plus précisément au centre Juno Beach, l’une des plages où les Canadiens ont débarqué pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s’est ensuite rendu au cimetière canadien de Bény-sur-mer. 

La ville de Courseulles-sur-mer était en ébullition lundi. Un peu avant 13 heures, le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, son épouse Sophie et leur premier fils Xavier ont foulé le sable de Juno Beach, en Normandie, où les Canadiens ont débarqué  lors de la Seconde Guerre mondiale. C’est sous un beau soleil que les trois se sont baladés le long de la côte, le souvenir en tête d’une époque lointaine et pourtant si proche. Justin Trudeau s’est ensuite arrêté au musée du Centre Juno Beach, qui rend hommage aux 45 000 soldats tués pendant la Seconde Guerre mondiale et retrace, grâce à de nombreux documents, objets et films, l’histoire du Débarquement.


Les Trudeau se sont ensuite dirigés vers le cimetière canadien de Bény-sur-mer. Un moment fort en émotion pour la famille puisque là se trouve la tombe de Jean-Robert Gregoire, grand-oncle de Sophie Trudeau. Appartenant aux voltigeurs de Québec, Jean-Robert Gregoire était arrivé en Angleterre en 1943, avec le grade de lieutenant. «Il débarquera ici en Normandie, le jour J, avec le régiment de la Chaudière et sera tué aux alentours de Caen, un mois plus tard, le 5 juillet 1944», a raconté Justin Trudeau, la gorge nouée. «Son neveu Jean qui deviendra le père de Sophie se souvient bien du deuil que la famille a vécu pendant des années, à la suite de la mort de leur ‘Bobby’ tant aimé, a-t-il ajouté. Sur la pierre tombale qu'on s'apprête à aller visiter, on peut lire une phrase choisie par son papa: ‘soyez braves chez nous, comme nous l'avons été au champ de bataille’».


100 ans de la bataille de Vimy... naissance du Canada, selon certains.


Quelque 20 000 personnes, dont une majorité de Canadiens sont venues ce dimanche au Mémorial national du Canada à Vimy (Pas-de-Calais) pour le 100e anniversaire de la bataille de Vimy, événement majeur des célébrations autour du Centenaire de la Première Guerre mondiale.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau,  le Prince Charles et de ses deux fils, le duc de Cambridge William et le prince Harry, la Première ministre écossaise Nicola Sturgeon ont assisté aux célébrations prévues en fin d’après-midi aux côtés du président François Hollande et du Premier ministre Bernard Cazeneuve.

Entre 18 000 et  20 000 personnes sont attendues pour célébrer le centenaire de la bataille de Vimy.
 
Vimy n'est pas n'importe quelle bataille. C'est la première fois que les soldats de toutes les provinces canadiennes (4 divisions) se préparent pendant 6 mois et combattent ensemble, pour déloger les Allemands de la crête de Vimy, en quatre jours. Les Canadiens réussissent à s'emparer de la crête de Vimy réputée imprenable, après plusieurs échecs des troupes françaises auparavant. Ils reprennent possession des mines de charbon tombées aux mains de l'ennemi. Mais il y a tout de même 10 000 morts et blessés.
 
Aujourd'hui, Martin Cowland, sergent de la gendarmerie royale du Canada, pose pour la première fois le pied sur ces collines où les soldats de son pays ont combattu : "c’est quelque chose, c’est profond même… On peut seulement tenter de s’imaginer les douleurs que nos anciens ont vécu ici. Il ne faut pas oublier que des gens ont souffert ici pour nous. Ce sont des moments clés car le Canada est devenu un pays à part entière. On est très fier de vivre un moment historique".
Avec 36 autres membres de la gendarmerie royale, ce sergent a assisté aujourd'hui à la cérémonie. Beaucoup, comme lui, disent que le Canada est vraiment né ici, sur ces collines enneigées, en avril 1917. 
Partout fleurit « le coquelicot du souvenir », symbole de la paix dans les pays anglo-saxons, (c'est le bleuet en France).

Pour plus d'information sur le site et la fondation de Vimy :
http://www.fondationvimy.ca/profil/la-mission/


"Les mauvaises herbes", film de Louis Bélanger

Entre le 26 avril et le 2 mai prochain,
le Cinéma de la plage, à Hauteville sur mer,
programme le dernier film de Louis Bélanger :
"Les mauvaises herbes" .
 
   Les Mauvaises herbes
   affiche envisagée                             affiche définitive
 
Voici la présentation québécoise de ce film :
 
"Les mauvaises herbes" marque le retour à la réalisation d’un long métrage de fiction pour Louis Bélanger (Gaz Bar Blues) que l’on n’avait pas vu depuis Route 132, réalisé en 2010 et ayant permis à François Papineau de remporter le prix d’interprétation masculine au Festival des films du monde.

Scénarisé par les complices de longue date Louis Bélanger et Alexis Martin, comme Route 132, "Les mauvaises herbes" relate les joyeuses mésaventures d’un vieux cultiveux de pot qui se retrouve subitement affublé d’un théâtreux verbeux et une jeune technicienne d’hydro délurée. Un shylock insistant viendra mettre en péril la petite récolte.

Basée sur une histoire mettant en avant une improbable mais jolie histoire d’amitié intergénérationnelle, cette comédie irrévérencieuse brasse plusieurs sujets d’actualité (homosexualité, politique, opposition Montréal/régions, entre autres) pour nous donner un portrait rigolard d’une frange de la société québécoise, résolument en marge de la « normalité ».
 
  
Pour voir la bande annonce :
 
Pour connaître les horaires des séances :
 
(pas de séance le 1er mai)