GROS-PIN a besoin d'amour !

Gros-Pin a besoin d’amour


 
 
 
Vandalisé d’un gigantesque graffiti,
brûlé par des feux sur ses racines
et entouré de déchets laissés par ses visiteurs,
Gros-Pin, cet énorme pin blanc emblématique du Parc régional du Haut-Pays de Kamouraska, a un
besoin criant d’amour.
 
Question de lui insuffler toute la tendresse qu’il mérite,
une corvée de nettoyage de son pourtour est prévue en juin prochain. Déjà, des dizaines de personnes ont manifesté leur intérêt à y participer.
 
 
Mieux le connaître :
situé en terre publique sur le territoire non organisé de Picard, Gros-Pin se trouve à une quinzaine de kilomètres du lac de l’Est et à environ 20 m de la frontière canado-américaine.
Possédant une circonférence d’un peu plus de 13 pieds (un peu plus de 4m) lors de sa dernière mesure en 2015, Gros-Pin serait le deuxième plus gros pin blanc du Québec.
On ne connaît pas son âge exact et on estime qu’il aurait tout de même entre 250 et 450 ans.
Sa taille hors-norme aurait aidé à le préserver de la coupe forestière au fil du temps.
C’est aussi ce qui lui aurait permis de servir de balise de repère lors du tracé de la frontière canado-américaine en 1908.
 
Le nettoyage de l'aire de Gros Pin est prévu le samedi 10 juin et le restaurant Côté Est de Kamouraska s’est même proposé de fournir une collation gratuite à ceux qui prendront part au nettoyage.
 
Une grande partie de cet article est extrait du Placoteux du 23 février 2018.
 
Pour votre information, il existe en France un concours "arbre de l'année" qui prime des arbres remarquables selon l'arbre, les soins, son histoire... doit-on inscrire Gros-Pin à titre de cousin remarquable ?? Voici le site d'inscription :
 
 

Samedi 17 février 2018 : céremonie du souvenir au cimetière de Coutances


Samedi 17 février 2018 : céremonie du souvenir au cimetière de Coutances  organisée par « Westlake Brothers Souvenir ».

Les jeunes ont  rendu un émouvant hommage aux victimes civiles des bombardements de juin 1944 sur Coutances 
et aux soldats venus d’outre-atlantique  tombés sur le sol normand lors de la libération

Cérémonie au cimetière de Coutances samedi 17 février

Samedi 17 février 2018
 à 15h au cimetière de Coutances


Samedi 17 février à 15h au cimetière de Coutances, il y aura une cérémonie organisée par l’association normande Westlake Brothers Souvenir*, qui œuvre pour la promotion du Devoir de Mémoire qu’on doit aux Canadiens venus libérer la Normandie d’abord, la France ensuite,  De jeunes normands dont des Coutançais participent à des échanges franco-canadiens grâce à cette association.
 
Vous pouvez vous unir à ces jeunes et participer à cette cérémonie qui ponctue le lien infaillible de la Normandie et du Canada.
 
* Pour plus d'information :
Depuis novembre 2006, les jeunes âgés de 8 à 23 ans de l’association Westlake Brothers Souvenir s’approprient ce Devoir de Mémoire et expriment leur reconnaissance au travers de cérémonies et d’événement commémoratifs qu’ils prennent intégralement en charge. C’est ainsi que l’année 2011 a vu ces jeunes organiser entièrement en France (et une en Angleterre) 19 commémorations.
En 2011 32 de ces jeunes ont traversé l’océan pour un périple de 21 jours au Canada afin d’y honorer les vétérans canadiens qui n’ont plus la force ni les moyens parfois de revenir en Normandie.
Il était donc du devoir de ces jeunes membres et des 18 adultes qui les accompagnaient de faire le chemin que ces jeunes hommes et femmes d’hier avaient eux-mêmes parcouru il y a presque 70 ans de cela…

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Le Cégep de La Pocatière, un article du Placoteux

D’autres portes s’ouvrent en Europe pour le Cégep de La Pocatière

Le vendredi 9 février 2018, 15h00
Marie-Claude Deschênes
Crédit photo : Maxime Paradis
Déjà en relation avec plusieurs établissements français, c’est maintenant toutes les portes de l’Europe qui s’ouvrent au Cégep de La Pocatière par le biais du projet A.N.G.E. du programme Erasmus+. Seul établissement canadien à être représenté dans ce projet, le Cégep de La Pocatière a été sélectionné pour son expertise dans l’utilisation des TIC (technologies de l’information et de la communication) dans l’enseignement.
C’est une belle opportunité que la directrice générale du Cégep de La Pocatière, Mme Marie-Claude Deschênes, était heureuse de communiquer. Grâce au projet A.N.G.E, financé par Erasmus+, l’établissement d’enseignement collégial permet au Canada d’être représenté à l’intérieur d’un groupe sélect de cinq autres pays européens composés de la France, l’Espagne, la Belgique, la Bulgarie et la Finlande, qui eux représentent neuf autres établissements d’enseignement.
Au cours des trois prochaines années, le groupe de travail doit se pencher sur l’intégration des TIC dans l’enseignement en classe et à distance, un domaine dans lequel le Cégep de La Pocatière possède déjà une expertise qui fait l’envie. « C’est pourquoi on a été sélectionné. On va participer aux séances de travail. C’est une belle occasion pour nous de positionner notre région dans le numérique et de faire valoir l’expertise de nos enseignants dans le domaine. On attend les partenaires à La Pocatière en avril prochain », d’indiquer Mme Deschênes.
« Si le Canada était choisi, ça permettrait aux étudiants et aux enseignants des pays faisant partie du programme d’avoir accès à du financement et des bourses de mobilité pour y étudier ou travailler. » – Marie-Claude Deschênes
De plus, en participant au projet A.N.G.E., le Cégep de La Pocatière travaille indirectement à ce que la Commission européenne sélectionne le Canada comme territoire de mobilité à travers son programme Erasmus+. « Si le Canada était choisi, ça permettrait aux étudiants et aux enseignants des pays faisant partie du programme d’avoir accès à du financement et des bourses de mobilité pour y étudier ou travailler », d’expliquer la directrice générale.
Mission
Outre la participation du Cégep au projet A.N.G.E., la mission de 19 jours en France de Marie-Claude Deschênes lui a permis de représenter les établissements d’enseignement collégial de l’Est-du-Québec, de développer des ententes de réciprocité qui doivent permettre une meilleure mobilité des étudiants de la France et du Québec, en plus de travailler à une meilleure reconnaissance du Diplôme d’études collégiales (DEC) en sol français.

Enfin, en compagnie du PDG de la Fédération des cégeps, Bernard Tremblay, elle a également plaidé pour faciliter les formalités administratives des étudiants français désireux d’étudier au Québec, en se rendant notamment à l’ambassade canadienne à Paris et en rencontrant la déléguée générale du Québec en France, Mme Line Beauchamp.

Restez au chaud et avalez ...


un bon roman.

Ben oui, il fait "frette en titi !"
Après une bonne marche sans oublier tuque, mitaine et coat bien chaud, vous vous calez dans votre fauteuil favori et vous n'êtes plus là, plongé dans un bon roman,
huuum c'est bon !

Pourquoi pas un Denise Bombardier  ?
Voilà le dernier paru en version "Poche" :




Voici le "4e de couverture" :
"Cinq amies franches, directes, indépendantes et décomplexées. Elles ont tout réussi. Ou presque. Car leur vie amoureuse, bien que trépidante, vire au désastre... Partagées entre la peur de vieillir et le désir de savourer à fond les belles années qu'il leur reste, elles ont choisi de se dire que la vie et la sexualité ne s'arrêtaient pas à 60 ans. Dans ce roman truculent, tendre et drôle, où les héroïnes parlent sans tabous, Denise Bombardier montre une nouvelle fois qu'elle sait toucher le coeur des femmes."

Pour info, il est en vente à la librairie Place Média rue Saint Nicolas.


 Bonne découverte.