Nicolas Paquin à l'honneur dans le Placoteux du 23 octobre

Côte-du-Sud : Nicolas Paquin honoré par le Salon du livre

Le lundi 23 octobre 2017, 11h00
Nicolas Paquin a reçu son prix des mains de la présidente d’honneur du 26e Salon du Livre de la Côte-du-Sud, l’auteure et animatrice, Hélène Raymond. Ils sont accompagnés (à gauche sur le photo) du président du jury, Jude Des Chênes.
Crédit photo : Maurice Gagnon

L’auteur de Saint-Roch-des-Aulnaies, Nicolas Paquin, était visiblement très heureux de recevoir le Prix littéraire Philippe-Aubert-de-Gaspé, samedi dernier, lors du 26e Salon du livre de la Côte-du-Sud.
Nicolas Paquin habite Saint-Roch-des-Aulnaies depuis 2014. Un emploi l’avait amené dans la région à l’époque. Il a choisi de s’y établir.
Nicolas Paquin aime bien marier la réalité et la fiction dans ses romans historiques. Depuis 2009, il a publié livres, dont la trilogie Les Volontaires où il met en vedette le courage de jeunes Canadiens lors de la Deuxième Guerre mondiale.
Quatre fois boursier des conseils des arts du Québec et du Canada, lauréat du prix Œuvre de l’année du Conseil de la Culture Québec–Chaudière-Appalaches, il défend la visibilité de la littérature en région.
Dans son mot de remerciement, Nicolas Paquin a d’ailleurs déploré qu’encore aujourd’hui, la moitié des Québécois soient des analphabètes fonctionnels.
Nicolas Paquin s’est aussi dit privilégié de recevoir un prix qui porte le nom (Philippe-Aubert-de-Gaspé) de à celui « qui a écrit les premières lignes » du roman canadien-français.
Cet été, Nicolas Paquin a vu son travail reconnu lors d’une tournée littéraire à Dieppe, Coutances et Saint-Malo, en France.
Lors du Salon du livre, Nicolas Paquin a présenté son plus récent roman Après-Bal (Éditions du Phoenix) dans lequel il renoue avec l’intrigue policière.

La Côte-du-Sud compte plus 120 auteurs. Une vingtaine d’entre eux étaient présents au Salon du livre en fin de semaine dernière pour présenter leurs œuvres.


Article du Placoteux du 10 octobre

Jumelage La Pocatière – Coutances : battre le fer pendant qu’il est chaud
Le mardi 10 octobre 2017, 11h00

Nicolas Paquin devant le Carrefour de La Pocatière à Coutances.
Crédit photo : Nicolas Paquin
Le dernier voyage à Hautot-Saint-Sulpice, qui a permis à Rivière-Ouelle de solidifier les liens qui l’unissent à la petite municipalité normande, fait rêver l’auteur de Saint-Roch-des-Aulnaies, Nicolas Paquin. Reçu chaleureusement à Coutances récemment, l’auteur aulnois croit que les Pocatois doivent s’inspirer de la récente expérience riveloise et y prévoir un voyage similaire pour 2019, dans le but de souligner les 35 ans de jumelage entre les deux villes.
En tournée en Bretagne et en Normandie pour faire la promotion de sa trilogie de romans portant sur la Deuxième Guerre mondiale, Nicolas Paquin a eu la chance d’être accueilli par Claire et Roger Bohuon, actuellement responsable du jumelage de Coutances avec La Pocatière. « J’ai été reçu comme un chef d’État. Ils m’ont offert une tribune pour donner une conférence devant 70 personnes. Ils ont organisé une réception à la mairie de Coutances avec le maire adjoint et ils ont levé le drapeau du Québec devant l’hôtel de ville pour souligner ma venue », racontait-il.
Il y a un carrefour qui porte le nom de La Pocatière et un hôtel à proximité. Il serait intéressant que La Pocatière évalue aussi la possibilité de donner le nom Coutances à quelque chose dans la ville.
Sur place, il a pu constater à quel point La Pocatière était omniprésente dans le quotidien des Coutançais, dont l’association de jumelage rassemblerait entre 60 et 80 membres selon ses dires. « Il y a un carrefour qui porte le nom de La Pocatière et un hôtel à proximité. Il serait intéressant que La Pocatière évalue aussi la possibilité de donner le nom Coutances à quelque chose dans la ville », suggérait-il.
Refonder un comité
Depuis maintenant quelques années, il n’y a plus de comité de jumelage avec Coutances à La Pocatière, de telle sorte que c’est la Ville elle-même qui avait organisé la venue des Coutançais en terre pocatoise, lors de leur dernière visite à l’automne 2014. Nicolas Paquin croit qu’il serait nécessaire de reformer ce comité. « Moi j’habite Saint-Roch-des-Aulnaies, je suis prêt à m’impliquer, mais je ne me vois pas nécessairement comme le porteur de ballon », expliquait-il.
Néanmoins, des gens lui auraient déjà manifesté leur intérêt, suite à une chronique qu’il a rédigée et publiée sur le sujet dans Le Placoteux, en août dernier. « À défaut que la ville s’occupe de tout, il serait tout de même intéressant de vérifier son intérêt à prêter des locaux au futur comité et peut-être même déléguer un conseiller municipal pour y siéger », ajoutait-il.
C’est pourquoi il croit qu’il faut battre le fer pendant qu’il est chaud et planifier un voyage pour Coutances en 2019, année qui soulignera le 35e anniversaire de jumelage avec La Pocatière. Rappelons que le dernier du genre organisé par l’ancien comité de jumelage remonte à 2004. « M. et Mme Bohuon nous attendent et n’espèrent rien de moins qu’accueillir 35 personnes pour les 35 ans. C’est une occasion à saisir », concluait-il.


Article du Placoteux le 17 octobre


La mère du parrainage Coutances-La Pocatière veut que son « bébé » revive
Le mardi 17 octobre 2017, 9h00
Liliane Grenier Raymond tient une photo de la cathédrale de Coutances, photographiée par son défunt mari, le Dr Raymond-Marie Raymond.
Crédit photo : Maxime Paradis

Instigatrice du parrainage entre la Ville de La Pocatière et Coutances en Normandie, dans les années 80, Mme Liliane Grenier Raymond souhaite de tout cœur qu’un comité de citoyens se reforme localement et que les échanges reprennent entre les deux municipalités, à l’approche du 35e anniversaire du jumelage.
C’est suite à une série d’articles parue récemment dans Le Placoteux, portant sur les jumelages entre les municipalités de Rivière-Ouellet et Hautot-Saint-Sulpice, ainsi que La Pocatière et Coutances, que Mme Grenier Raymond a senti le besoin d’entrer en contact avec nous. « J’ai encore le feu sacré. Ce jumelage, c’est comme mon “bébé” », d’indiquer celle qui croit profondément aux liens qui unissent La Pocatière à Coutances.
C’est pourquoi elle se réjouit de voir l’intérêt susciter autour du 35e anniversaire de jumelage entre Rivière-Ouellet et Hautot-Saint-Sulpice et de l’invitation lancée par l’auteur de Saint-Roch-des-Aulnaies, Nicolas Paquin, qui encourage la communauté pocatoise à se mobiliser en vue du 35e anniversaire du jumelage avec Coutances, après y avoir été reçu chaleureusement lors de sa tournée littéraire en août dernier. « C’est sûr que les temps ont changé et qu’aujourd’hui les gens voyagent beaucoup plus par eux-mêmes qu’en groupe, mais il y a encore de la place pour des échanges de la sorte », confie-t-elle.
C’est sûr que les temps ont changé et qu’aujourd’hui les gens voyagent beaucoup plus par eux-mêmes qu’en groupe, mais il y a encore de la place pour des échanges de la sorte.
Historique
Au début des années 80, Liliane Grenier Raymond était conseillère municipale à La Pocatière lorsque la ville a été approchée par l’Association France-Québec qui était à la recherche d’une ville québécoise à jumeler avec Coutances. Le maire de l’époque, Louis-Joseph Gosselin, lui avait alors demandé de s’occuper du dossier. « La Pocatière avait été approchée parce qu’on avait beaucoup de points communs. Les deux villes étaient le siège d’un évêché, on était des milieux agricoles, éducationnels, culturels et institutionnels forts et nous avions chacune une école d’agriculture », expliquait-elle.
Après deux ans de « flirt », le mariage a été officialisé en 1984 lors d’un premier voyage. « On s’était rendu à Coutances où on avait été hébergé dans des familles. Il y avait plusieurs personnes âgées dans le voyage et certaines en était à leur premier voyage à vie », de se rappeler Mme Grenier Raymond.
Dissolution du comité
Ce premier voyage a vu naître une belle histoire d’amour entre Coutances et La Pocatière, selon Mme Grenier Raymond. Dans les années qui ont suivies, de nombreux échanges ont été organisés, permettant tantôt à des élèves de l’École Sacré-Cœur et même des judokas du Club de judo de s’y rendre.
Toutefois, il y a près d’une dizaine d’années, le comité de jumelage de La Pocatière s’est dissout, laissant entre les mains de la ville le soin d’organiser la visite des Coutançais en 2014. Pour le 35e anniversaire du jumelage en 2019, Mme Grenier Raymond espère qu’une délégation pocatoise se rendra de nouveau à Coutances, ce qui serait une première depuis 2004. Et ce rendez-vous, s’il se concrétise, elle a bien l’intention d’y prendre part.

mardi 3 octobre sur France Inter : Fred PELLERIN


était l'invité de l'émission "Par Jupiter" , animée par Charline VANHOECKER et Alex VIZOREK :

https://www.franceinter.fr/emissions/par-jupiter/par-jupiter-03-octobre-2017



Fred PELLERIN est venu présenter son nouveau spectacle: "Un village en trois dés".
 
Comme dans ses cinq spectacles précédents, Fred PELLERIN nous entraîne à la découverte des figures hautes en couleur de Saint-Élie-de-Caxton, son village natal. Après Méo, le coiffeur-décoiffeur, c'est avec Alice la postière et le curé que nous ferons connaissance dans " un village en trois dés".

"Un village en trois dés, c'est une nouvelle incursion de Fred Pellerin dans le dédale parlant de son village Saint-Élie-de-Caxton. On y retrouve la faune légendaire préservée: Méo le barbier décoiffeur, Toussaint le marchand généreux, Lurette la belle, et encore. Aussi, sur ce sixième voyage conté, on a la chance de faire la rencontre d'Alice, la première postière de l'histoire locale, elle qui savait licher les enveloppes dans les deux sens - tant pour les fermer que pour les ouvrir -, et de connaître un peu mieux le curé neuf, cet envoyé de l'évêché mandaté pour redonner du lustre à la foi ambiante du Caxton d'époque. Un timbre sur la langue pour elle, une hostie dans le palais pour lui. Pendant que la postière s'évertue à ce que les mots atteignent leur destination dans le sens des aiguilles du monde, l'homme d'église tente de maintenir la communication entre tous et le Tout. Dans les deux directions, la tâche se présente avec son lot d'aléas. Et vient inévitablement le moment où les deux axes doivent se croiser.

"Un village en trois dés", c'est quelques histoires qui se tiennent en équilibre sur un petit cube de hasard ou de providence. Des récits à accrocher le rire, les oreilles et un peu plus encore. On y parle de l'amour, de la guerre, de la mort, et sur chaque brassée, d'un acte de foi et de ses grands mystères.

""Un village en trois dés", c'est Saint-Élie-de-Caxton qui se mesure à lui-même dans ses dimensions de largeur, de hauteur et de profondeur. Comme si on y était. Par moment, on dirait même que ça peut nous toucher." Fred Pellerin
 
 

Samedi soir : 7 octobre 2017 à 20h55 sur la 5

L'émission reportages et voyages
 "Echappées Belles"
propose :  "Un été à Montréal".
 
Cosmopolite et accueillante, forte des vagues d'immigration qui ont bâti son histoire, Montréal ne cesse de se réinventer. Du Vieux Port, témoin du passé, au coeur Mile End, âme de la cité, en passant par les étendues vertes des parcs nationaux, Montréal cultive une douceur de vivre qui fait aujourd'hui sa réputation. Raphaël de Casabianca sillonne les rues et les places de cette ville à mi-chemin entre les Etats-Unis et l'Europe, où solidarité et convivialité sont devenues des principes de vie.





Sommaire
- Montréal, «Summer Time»
- Le jour du déménagement
- Les démons de minuit
- Stage de survie
- Bienvenue en Terre du Milieu
- Immersion chez nos amis caribous


A réserver en novembre : Diane TELL


Diane Tell
 

En solo, juste avec une guitare et sa voix de velours, Diane Tell, dans ce nouvel opus, déshabille ses chansons pour en offrir une version dépouillée, intemporelle.
Toujours aussi bouleversante, l’artiste québécoise associée pour l’éternité aux titres Ah si j’étais un homme ou La légende de Jimmy interprète ses plus belles chansons sans parure avec sa voix si singulière et attachante qui grimpe en flèche dans les aigus et retombe pour procurer toujours ce même frisson, cette même émotion de renouveau...
UNE fois pour toutes, je l’ai fait cet album en solo, ce retour sur quelques-unes de mes plages sans l’harmonieuse compagnie de musiciens. Pour UNE fois, je suis partie sans équipage aux alentours de mon île enchantée y prendre l’air de mes chansons pour leur offrir un autre souffle.
Débarrassées de leur costume de style, les chansons prennent UNE tout autre tournure, tantôt profonde, tantôt légère.
Pourquoi UNE ? Parce que la voix d’UNE seule femme et le son d’UNE seule guitare se sont unis pour ne faire qu’ UNE.
DIANE TELL
 
Pour ceux qui n'ont pas les tounes de Diane TELL dans l'oreille :
la légende de Jimmy
 
Si j'étais un homme
 
 
 
Près de chez vous :
14/11/2017 - 20h30Brécey / Espace culturel
Réservation : 02 33 89 21 13
15/11/2017 - 20h30Carentan les Marais / Théâtre
Réservation : 02 33 71 25 25
16/11/2017 - 20h30Quettehou / Halle aux grains
Réservation : 02 33 54 11 68
17/11/2017 - 20h30Condé-sur-Vire / Condé Espace
Réservation : 02 33 77 87 39 ou 30
 
 Plein tarif : 9€
- Tarif réduit : 4€ (enfants de plus de 3 ans / étudiant / chômeur / bénéficiaire du RSA)



http://www.manche.fr/culture/fiche-artiste-ves-17-18.aspx?card=17009365