La tire de la Ste Catherine (article du Placoteux)

Le Musée québécois de l’agriculture et de l’alimentation (MQAA) à La Pocatière invite petits et grands à une démonstration de fabrication de tire de la Sainte-Catherine.
Crédit photo : Service des archives, Congrégation de Notre-Dame et Musée Marguerite‑Bourgeoys
Le Musée québécois de l’agriculture et de l’alimentation (MQAA) à La Pocatière invite petits et grands à une démonstration de fabrication de tire de la Sainte-Catherine, qui sera donnée par Mme Candide Beaulieu, du Cercle des fermières, le samedi 25 novembre, à compter de 13 h 30.

Cette activité familiale amusante vous montrera la fabrication traditionnelle de la tire, en ce jour de la Sainte-Catherine. Cette coutume remonte à la Nouvelle-France, alors que mère Marguerite Bourgeois, fondatrice de la congrégation Notre-Dame (CND) à Montréal, en 1658, faisait ces délicieux bonbons à la mélasse pour attirer les enfants des colons et des Autochtones à son école. Pour une minime contribution, on pourra également se sucrer le bec et repartir avec la recette de tire.

Sylvain Hudon réélu à La Pocatière

Sylvain Hudon réélu à La Pocatière
Le dimanche 5 novembre 2017, 22h35


Sylvain Hudon                                                                          Crédit photo : Archives Le Placoteux

Sylvain Hudon a été réélu à la mairie de La Pocatière pour un troisième mandat.

M. Hudon affrontait le candidat Luc Pelletier. Il a été réélu par 1003 voix contre 495 pour Luc Pelletier.
Pas du tout amer, le candidat défait a mentionné s’être présenté par désir de changer les choses. Il espère maintenant que des éléments de sa plateforme électorale seront repris par M. Hudon et l’équipe de conseillers élus par acclamation. « Je crois qu’il y a de très bons éléments qui pourraient être mis en place », s’est-il exclamé.
Heureux de sa réélection, M. Hudon a remercié son équipe et promis de reprendre le travail avec l’équipe élue par acclamation, dès son assermentation réalisée. « Nous allons commencer par travailler le budget et on va livrer par la suite un nouveau plan de développement pour février. On est en train de faire les consultations sur le sujet à l’heure actuelle », a-t-il déclaré.
Au total, 1509 électeurs sur 3320 inscrits ont exercé leur droit de vote pour un taux de participation de 45,5%.


Jour du souvenir : 11 novembre et à la Pocatière...



Le 11 novembre est le jour du Souvenir (Veterans Day, Remembrance Day ou Poppy Day) dans tout le Commonwealth. Il commémore les sacrifices de la Première guerre mondiale et de toutes les autres guerres.
 
Le "Poppy" ou coquelicot* en papier ou feutrine est vendu pour être épinglé sur une veste ou un manteau, au bénéfice des anciens combattants.
 
A La Pocatière, Nicolas PAQUIN ravive le souvenir d'un enfant du pays, mort au combat lors du raid du 19 août 1942 à Dieppe.
Il s'agit d'Ernest MIGNEAULT.
Nicolas PAQUIN raconte comment il a "retrouvé" cet homme, retracé son histoire, rencontré sa famille, dans l'article dont voici le lien :
 
 
* Selon les combattants les coquelicots étaient rares avant les bombardements dans la campagne du Nord et de l'Est de la France. Le sol s'est enrichi en poussières de chaux venant du sous-sol crayeux, favorables à l'apparition des coquelicots à en tapisser les sols. Une fois l'herbe et l'humus revenus, ces fleurs ont peu à peu disparu.
 
 
 

La Pocatière lance une vidéo promotionnelle

La Pocatière lance une vidéo promotionnelle
Le mercredi 1er novembre 2017, 11h00
La ville de La Pocatière a lancé mardi dernier une vidéo promotionnelle pour mettre en valeur le milieu de vie pocatois auprès de futurs résidents ou employés.
https://www.youtube.com/watch?v=Ro-mrjQeU9g

Le maire sortant, M. Sylvain Hudon, invite les entreprises et les institutions d’enseignement à utiliser la vidéo « Ma vie c’est ICI! » pour promouvoir la région de La Pocatière auprès de la clientèle qu’elles souhaitent recruter.
Marie-Claude Gamache de la firme Méloé souligne que la vidéo de quatre minutes est accessible par la chaîne YouTube que vient d’ouvrir la Ville.
Les quatre axes de communication développés par la ville au cours des dernières années y sont présentés. Ces axes sont : Vivre et se divertir ICI, s’instruire et préparer son avenir ICI, innover et développer ICI, pour finalement arriver à la conclusion qu’il est heureux de s’établir ICI.

La Ville sur Facebook
Cet outil de communication s’ajoute à la page Facebook de la Ville de La Pocatière démarrée en juin dernier. Cette page contient une centaine de publications, plus de 10 montages vidéos cumulant des dizaines de milliers de vues et 1078 abonnés. Sans oublier la page L’Halloween à La Pocatière. Les six courtes vidéos produites cette année ont été vues jusqu’à maintenant par plus de 23 000 personnes.
Les firmes Méloé et Hidalgo ont travaillé en étroite collaboration avec la ville pour la production de ce nouvel outil.


Nicolas Paquin à l'honneur dans le Placoteux du 23 octobre

Côte-du-Sud : Nicolas Paquin honoré par le Salon du livre

Le lundi 23 octobre 2017, 11h00
Nicolas Paquin a reçu son prix des mains de la présidente d’honneur du 26e Salon du Livre de la Côte-du-Sud, l’auteure et animatrice, Hélène Raymond. Ils sont accompagnés (à gauche sur le photo) du président du jury, Jude Des Chênes.
Crédit photo : Maurice Gagnon

L’auteur de Saint-Roch-des-Aulnaies, Nicolas Paquin, était visiblement très heureux de recevoir le Prix littéraire Philippe-Aubert-de-Gaspé, samedi dernier, lors du 26e Salon du livre de la Côte-du-Sud.
Nicolas Paquin habite Saint-Roch-des-Aulnaies depuis 2014. Un emploi l’avait amené dans la région à l’époque. Il a choisi de s’y établir.
Nicolas Paquin aime bien marier la réalité et la fiction dans ses romans historiques. Depuis 2009, il a publié livres, dont la trilogie Les Volontaires où il met en vedette le courage de jeunes Canadiens lors de la Deuxième Guerre mondiale.
Quatre fois boursier des conseils des arts du Québec et du Canada, lauréat du prix Œuvre de l’année du Conseil de la Culture Québec–Chaudière-Appalaches, il défend la visibilité de la littérature en région.
Dans son mot de remerciement, Nicolas Paquin a d’ailleurs déploré qu’encore aujourd’hui, la moitié des Québécois soient des analphabètes fonctionnels.
Nicolas Paquin s’est aussi dit privilégié de recevoir un prix qui porte le nom (Philippe-Aubert-de-Gaspé) de à celui « qui a écrit les premières lignes » du roman canadien-français.
Cet été, Nicolas Paquin a vu son travail reconnu lors d’une tournée littéraire à Dieppe, Coutances et Saint-Malo, en France.
Lors du Salon du livre, Nicolas Paquin a présenté son plus récent roman Après-Bal (Éditions du Phoenix) dans lequel il renoue avec l’intrigue policière.

La Côte-du-Sud compte plus 120 auteurs. Une vingtaine d’entre eux étaient présents au Salon du livre en fin de semaine dernière pour présenter leurs œuvres.


Article du Placoteux du 10 octobre

Jumelage La Pocatière – Coutances : battre le fer pendant qu’il est chaud
Le mardi 10 octobre 2017, 11h00

Nicolas Paquin devant le Carrefour de La Pocatière à Coutances.
Crédit photo : Nicolas Paquin
Le dernier voyage à Hautot-Saint-Sulpice, qui a permis à Rivière-Ouelle de solidifier les liens qui l’unissent à la petite municipalité normande, fait rêver l’auteur de Saint-Roch-des-Aulnaies, Nicolas Paquin. Reçu chaleureusement à Coutances récemment, l’auteur aulnois croit que les Pocatois doivent s’inspirer de la récente expérience riveloise et y prévoir un voyage similaire pour 2019, dans le but de souligner les 35 ans de jumelage entre les deux villes.
En tournée en Bretagne et en Normandie pour faire la promotion de sa trilogie de romans portant sur la Deuxième Guerre mondiale, Nicolas Paquin a eu la chance d’être accueilli par Claire et Roger Bohuon, actuellement responsable du jumelage de Coutances avec La Pocatière. « J’ai été reçu comme un chef d’État. Ils m’ont offert une tribune pour donner une conférence devant 70 personnes. Ils ont organisé une réception à la mairie de Coutances avec le maire adjoint et ils ont levé le drapeau du Québec devant l’hôtel de ville pour souligner ma venue », racontait-il.
Il y a un carrefour qui porte le nom de La Pocatière et un hôtel à proximité. Il serait intéressant que La Pocatière évalue aussi la possibilité de donner le nom Coutances à quelque chose dans la ville.
Sur place, il a pu constater à quel point La Pocatière était omniprésente dans le quotidien des Coutançais, dont l’association de jumelage rassemblerait entre 60 et 80 membres selon ses dires. « Il y a un carrefour qui porte le nom de La Pocatière et un hôtel à proximité. Il serait intéressant que La Pocatière évalue aussi la possibilité de donner le nom Coutances à quelque chose dans la ville », suggérait-il.
Refonder un comité
Depuis maintenant quelques années, il n’y a plus de comité de jumelage avec Coutances à La Pocatière, de telle sorte que c’est la Ville elle-même qui avait organisé la venue des Coutançais en terre pocatoise, lors de leur dernière visite à l’automne 2014. Nicolas Paquin croit qu’il serait nécessaire de reformer ce comité. « Moi j’habite Saint-Roch-des-Aulnaies, je suis prêt à m’impliquer, mais je ne me vois pas nécessairement comme le porteur de ballon », expliquait-il.
Néanmoins, des gens lui auraient déjà manifesté leur intérêt, suite à une chronique qu’il a rédigée et publiée sur le sujet dans Le Placoteux, en août dernier. « À défaut que la ville s’occupe de tout, il serait tout de même intéressant de vérifier son intérêt à prêter des locaux au futur comité et peut-être même déléguer un conseiller municipal pour y siéger », ajoutait-il.
C’est pourquoi il croit qu’il faut battre le fer pendant qu’il est chaud et planifier un voyage pour Coutances en 2019, année qui soulignera le 35e anniversaire de jumelage avec La Pocatière. Rappelons que le dernier du genre organisé par l’ancien comité de jumelage remonte à 2004. « M. et Mme Bohuon nous attendent et n’espèrent rien de moins qu’accueillir 35 personnes pour les 35 ans. C’est une occasion à saisir », concluait-il.


Article du Placoteux le 17 octobre


La mère du parrainage Coutances-La Pocatière veut que son « bébé » revive
Le mardi 17 octobre 2017, 9h00
Liliane Grenier Raymond tient une photo de la cathédrale de Coutances, photographiée par son défunt mari, le Dr Raymond-Marie Raymond.
Crédit photo : Maxime Paradis

Instigatrice du parrainage entre la Ville de La Pocatière et Coutances en Normandie, dans les années 80, Mme Liliane Grenier Raymond souhaite de tout cœur qu’un comité de citoyens se reforme localement et que les échanges reprennent entre les deux municipalités, à l’approche du 35e anniversaire du jumelage.
C’est suite à une série d’articles parue récemment dans Le Placoteux, portant sur les jumelages entre les municipalités de Rivière-Ouellet et Hautot-Saint-Sulpice, ainsi que La Pocatière et Coutances, que Mme Grenier Raymond a senti le besoin d’entrer en contact avec nous. « J’ai encore le feu sacré. Ce jumelage, c’est comme mon “bébé” », d’indiquer celle qui croit profondément aux liens qui unissent La Pocatière à Coutances.
C’est pourquoi elle se réjouit de voir l’intérêt susciter autour du 35e anniversaire de jumelage entre Rivière-Ouellet et Hautot-Saint-Sulpice et de l’invitation lancée par l’auteur de Saint-Roch-des-Aulnaies, Nicolas Paquin, qui encourage la communauté pocatoise à se mobiliser en vue du 35e anniversaire du jumelage avec Coutances, après y avoir été reçu chaleureusement lors de sa tournée littéraire en août dernier. « C’est sûr que les temps ont changé et qu’aujourd’hui les gens voyagent beaucoup plus par eux-mêmes qu’en groupe, mais il y a encore de la place pour des échanges de la sorte », confie-t-elle.
C’est sûr que les temps ont changé et qu’aujourd’hui les gens voyagent beaucoup plus par eux-mêmes qu’en groupe, mais il y a encore de la place pour des échanges de la sorte.
Historique
Au début des années 80, Liliane Grenier Raymond était conseillère municipale à La Pocatière lorsque la ville a été approchée par l’Association France-Québec qui était à la recherche d’une ville québécoise à jumeler avec Coutances. Le maire de l’époque, Louis-Joseph Gosselin, lui avait alors demandé de s’occuper du dossier. « La Pocatière avait été approchée parce qu’on avait beaucoup de points communs. Les deux villes étaient le siège d’un évêché, on était des milieux agricoles, éducationnels, culturels et institutionnels forts et nous avions chacune une école d’agriculture », expliquait-elle.
Après deux ans de « flirt », le mariage a été officialisé en 1984 lors d’un premier voyage. « On s’était rendu à Coutances où on avait été hébergé dans des familles. Il y avait plusieurs personnes âgées dans le voyage et certaines en était à leur premier voyage à vie », de se rappeler Mme Grenier Raymond.
Dissolution du comité
Ce premier voyage a vu naître une belle histoire d’amour entre Coutances et La Pocatière, selon Mme Grenier Raymond. Dans les années qui ont suivies, de nombreux échanges ont été organisés, permettant tantôt à des élèves de l’École Sacré-Cœur et même des judokas du Club de judo de s’y rendre.
Toutefois, il y a près d’une dizaine d’années, le comité de jumelage de La Pocatière s’est dissout, laissant entre les mains de la ville le soin d’organiser la visite des Coutançais en 2014. Pour le 35e anniversaire du jumelage en 2019, Mme Grenier Raymond espère qu’une délégation pocatoise se rendra de nouveau à Coutances, ce qui serait une première depuis 2004. Et ce rendez-vous, s’il se concrétise, elle a bien l’intention d’y prendre part.

mardi 3 octobre sur France Inter : Fred PELLERIN


était l'invité de l'émission "Par Jupiter" , animée par Charline VANHOECKER et Alex VIZOREK :

https://www.franceinter.fr/emissions/par-jupiter/par-jupiter-03-octobre-2017



Fred PELLERIN est venu présenter son nouveau spectacle: "Un village en trois dés".
 
Comme dans ses cinq spectacles précédents, Fred PELLERIN nous entraîne à la découverte des figures hautes en couleur de Saint-Élie-de-Caxton, son village natal. Après Méo, le coiffeur-décoiffeur, c'est avec Alice la postière et le curé que nous ferons connaissance dans " un village en trois dés".

"Un village en trois dés, c'est une nouvelle incursion de Fred Pellerin dans le dédale parlant de son village Saint-Élie-de-Caxton. On y retrouve la faune légendaire préservée: Méo le barbier décoiffeur, Toussaint le marchand généreux, Lurette la belle, et encore. Aussi, sur ce sixième voyage conté, on a la chance de faire la rencontre d'Alice, la première postière de l'histoire locale, elle qui savait licher les enveloppes dans les deux sens - tant pour les fermer que pour les ouvrir -, et de connaître un peu mieux le curé neuf, cet envoyé de l'évêché mandaté pour redonner du lustre à la foi ambiante du Caxton d'époque. Un timbre sur la langue pour elle, une hostie dans le palais pour lui. Pendant que la postière s'évertue à ce que les mots atteignent leur destination dans le sens des aiguilles du monde, l'homme d'église tente de maintenir la communication entre tous et le Tout. Dans les deux directions, la tâche se présente avec son lot d'aléas. Et vient inévitablement le moment où les deux axes doivent se croiser.

"Un village en trois dés", c'est quelques histoires qui se tiennent en équilibre sur un petit cube de hasard ou de providence. Des récits à accrocher le rire, les oreilles et un peu plus encore. On y parle de l'amour, de la guerre, de la mort, et sur chaque brassée, d'un acte de foi et de ses grands mystères.

""Un village en trois dés", c'est Saint-Élie-de-Caxton qui se mesure à lui-même dans ses dimensions de largeur, de hauteur et de profondeur. Comme si on y était. Par moment, on dirait même que ça peut nous toucher." Fred Pellerin
 
 

Samedi soir : 7 octobre 2017 à 20h55 sur la 5

L'émission reportages et voyages
 "Echappées Belles"
propose :  "Un été à Montréal".
 
Cosmopolite et accueillante, forte des vagues d'immigration qui ont bâti son histoire, Montréal ne cesse de se réinventer. Du Vieux Port, témoin du passé, au coeur Mile End, âme de la cité, en passant par les étendues vertes des parcs nationaux, Montréal cultive une douceur de vivre qui fait aujourd'hui sa réputation. Raphaël de Casabianca sillonne les rues et les places de cette ville à mi-chemin entre les Etats-Unis et l'Europe, où solidarité et convivialité sont devenues des principes de vie.





Sommaire
- Montréal, «Summer Time»
- Le jour du déménagement
- Les démons de minuit
- Stage de survie
- Bienvenue en Terre du Milieu
- Immersion chez nos amis caribous


A réserver en novembre : Diane TELL


Diane Tell
 

En solo, juste avec une guitare et sa voix de velours, Diane Tell, dans ce nouvel opus, déshabille ses chansons pour en offrir une version dépouillée, intemporelle.
Toujours aussi bouleversante, l’artiste québécoise associée pour l’éternité aux titres Ah si j’étais un homme ou La légende de Jimmy interprète ses plus belles chansons sans parure avec sa voix si singulière et attachante qui grimpe en flèche dans les aigus et retombe pour procurer toujours ce même frisson, cette même émotion de renouveau...
UNE fois pour toutes, je l’ai fait cet album en solo, ce retour sur quelques-unes de mes plages sans l’harmonieuse compagnie de musiciens. Pour UNE fois, je suis partie sans équipage aux alentours de mon île enchantée y prendre l’air de mes chansons pour leur offrir un autre souffle.
Débarrassées de leur costume de style, les chansons prennent UNE tout autre tournure, tantôt profonde, tantôt légère.
Pourquoi UNE ? Parce que la voix d’UNE seule femme et le son d’UNE seule guitare se sont unis pour ne faire qu’ UNE.
DIANE TELL
 
Pour ceux qui n'ont pas les tounes de Diane TELL dans l'oreille :
la légende de Jimmy
 
Si j'étais un homme
 
 
 
Près de chez vous :
14/11/2017 - 20h30Brécey / Espace culturel
Réservation : 02 33 89 21 13
15/11/2017 - 20h30Carentan les Marais / Théâtre
Réservation : 02 33 71 25 25
16/11/2017 - 20h30Quettehou / Halle aux grains
Réservation : 02 33 54 11 68
17/11/2017 - 20h30Condé-sur-Vire / Condé Espace
Réservation : 02 33 77 87 39 ou 30
 
 Plein tarif : 9€
- Tarif réduit : 4€ (enfants de plus de 3 ans / étudiant / chômeur / bénéficiaire du RSA)



http://www.manche.fr/culture/fiche-artiste-ves-17-18.aspx?card=17009365

Conseils de saison

Orignal : les petits détails pour obtenir du succès régulièrement




Louis TURBIDE, directeur du journal "Le Placotteux", journal de La Pocatière, donne quelques conseils pour chasser l'orignal à l'appel. Entendez là : "callez l'orignal" .
 
 
La réussite de la chasse à l’appel repose sur la probabilité d’un orignal à vous entendre. Si votre call (avec un entonnoir à calls, les meilleurs sont en écorce de bouleau) porte à 80 m, vos chances sont beaucoup moins fortes que si vos appels sont entendus à 2 km à la ronde. Pour maximiser vos chances de récolte, n’hésitez pas à caller sur 360 degrés. De cette façon, vous patrouillez votre territoire efficacement et s’il y a un mâle à portée d’appel, il risque fortement de se manifester.
 
De plus, j’investis mes efforts  lorsque la température se situe à environ 12 °C ou moins. L’orignal est beaucoup plus réceptif à ce moment-là... Je patiente jusqu’à ce que le vent soit quasi arrêté. L’orignal n’aime pas se déplacer par grand vent, car tout est synonyme de danger pour lui en forêt.
 
 
D'autres chasseurs utilisent un artifice majeur : l'urine d'orignale femelle en chaleur. En l'écoulant à hauteur de la femelle, le bruit puis l'odeur attirent le mâle.
 
 
 
 NB les précisions en écriture italique sont données par l'auteur de cet article.
 

Article de Nicolas Paquin paru dans Le Placoteux du 19 août 2017

Quand la France aime La Pocatière
Le samedi 19 août 2017,  

Coutances et La Pocatière sont jumelées depuis 1984.
Crédit photo : Nicolas Paquin

Le jumelage entre La Pocatière et Coutances, ça vous dit quelque chose? Coutances, c’est une ville de Normandie, tout près du Mont-Saint-Michel. Située près de la mer, elle compte environ 10 000 habitants. Bombardée durant la guerre, elle s’est rebâtie entre vieil âge et modernité. Avec une rue principale bordée de magasins de proximité qui s’appelle Saint-Nicolas, je m’y sentais comme sur la 4e avenue à La Pocatière.
Nicolas Paquin

Voilà presque 35 ans que nos deux villes partagent entre elles une relation d’amitié. Quand j’ai commencé à préparer ma tournée littéraire en France, j’ai rapidement communiqué avec les gens du jumelage qui habitent Coutances : je voyais là une occasion de rencontrer de nouvelles personnes outre-mer. Eh bien, finalement, cette graine, semée au hasard, a fleuri plus intensément que prévu : on m’a réservé un accueil qu’on ne réserve qu’aux dignitaires. Rien de moins!
Voyez-vous : les Coutançais adorent La Pocatière. Mes hôtes, les Bohuon, habitent entre le Carrefour de La Pocatière et l’Hôtel La Pocatière. Je ne blague pas! On m’avait demandé de présenter mon travail à leur association. Alors, vous comprenez que je m’attendais à échanger avec un petit groupe de gens… C’était sans savoir que le comité du jumelage entre nos deux villes comprend… tenez-vous bien : plus de soixante membres! Plusieurs de ces membres ont amené des amis, et ma présentation s’est faite devant une salle comble avec, le lendemain, une réception officielle à l’hôtel de ville de Coutances, sur lequel on avait hissé pour l’occasion le drapeau du Québec.
Pour le reste, les Coutançais m’ont fait visiter le célèbre Mont-Saint-Michel, le Normandy Victory Museum et les alentours de leur cité, entre des dîners fastes et des rencontres avec des gens adorables.
Mais pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça, moi? Simple : nous devons relancer les activités avec ce jumelage. Et nous devons laisser des traces dans notre paysage de cette amitié : une place, un parc, une rue… Nos villes ont tant en commun. Pendant mon voyage, j’ai appris que Coutances possède un lycée agricole. Comme notre ITA. Qu’on y retrouve un labyrinthe dans un champ de maïs. Comme ici. En son centre trône une cathédrale. S’y multiplient les institutions d’éducation… Et j’en passe. Madame Bohuon, ancienne conseillère municipale et présidente du comité, me l’a dit : « en 2019, le jumelage aura 35 ans. On aimerait accueillir 35 Québécois ». C’est-y pas merveilleux, ça?

Mais j’irais plus loin. Pourquoi ne pas créer un contact direct, régulier, entre nos institutions, de façon à favoriser les échanges scolaires, économiques, tout autant que culturels? Le Kamouraska et la région coutançaise ne peuvent qu’y trouver des avantages : rares sont les villes qui peuvent se vanter d’avoir un tel accès à la France. J’ai envie de mettre mon chapeau de conseiller à l’entrepreneuriat, et d’enjoindre les jeunes à faire un projet de volontariat pour raviver ce jumelage. Je dis ça comme ça… Mais j’aimerais bien en reparler avec vous, les lecteurs…

Kamouraska, le labyrinthe de La Pocatière

Des images saisissantes du Grand labyrinthe de La Pocatière
Article de Stéphanie Gendron paru dans le Placoteux 
Le mardi 15 août 2017, 11h00
            

Des images saisissantes du Grand labyrinthe de La Pocatière.
Crédit photo : Luc Pelletier

Le Grand labyrinthe de La Pocatière a dévoilé des images saisissantes captées par drone, à quelques jours de l’ouverture officielle.

Quatre fois plus gros que l’an dernier et déménagé dans un nouveau champ de maïs du chemin des Sables, le labyrinthe compte huit kilomètres de chemins et est gros comme 72 patinoires.


Il y a quelques jours, une cinquantaine de personnes l’ont affronté lors de la préouverture et l’ont trouvé très difficile, selon le promoteur Luc Pelletier qui s’en félicite. Le labyrinthe sera accessible cette année dès le mercredi 16 août et jusqu’au 31 octobre. Des activités l’animeront, dont le lancer du maïs, l’illumination, le jeu « pocman » par équipes et une nuit blanche d’horreur durant la période de l’Halloween à La Pocatière.

Nicolas Paquin à Coutances



Conférence aux Unelles le vendredi 11 août 

en partenariat avec le cercle de généalogie et d'histoire locale


 Accueil à la Mairie le samedi 12 août










Au musée de Catz, 

"Normandy Victory Museum"

le dimanche 13 août


Un chef de choeur Pocatois avec Patrick Bruel

1000 choristes dirigés par Marc-André Caron de La Pocatière accompagnent Patrick Bruel à Cannes
Le lundi 7 août 2017, 6h00

Marc-André Caron en répétition avec Patrick Bruel.
Crédit photo : Courtoisie Marc-André Caron
Depuis plus de 20 ans, Marc-André Caron partage son temps entre la France et le Kamouraska. Chef de chœur du Groupe vocal Mouv’ Anse à La Pocatière, il s’évade entre sept et huit fois par année dans l’hexagone pour diriger des ensembles vocaux composés de centaines de choristes. Le 29 juillet dernier, à Cannes, il a pris part à un concert exceptionnel dans lequel il a dirigé pas moins de 1000 choristes de partout dans le monde qui ont accompagné les artistes français Patrick Bruel, Patrick Fiori et Vincent Niclo.

C’est en 1996 que Marc-André Caron a commencé à diriger de gros rassemblements de choristes en sol français. Au fil du temps, l’homme de La Pocatière, originaire de Saint-Pamphile dans L’Islet, a accompagné de cette façon plusieurs gros noms de la chanson française, tels Georges Moustaki, Gilbert Bécaud et Jean-Jacques Goldman, pour n’en nommer que quelques-uns. Depuis le 29 juillet, il peut maintenant ajouter Patrick Bruel à cette liste déjà impressionnante.

Tenté par une soirée littéraire québécoise ?

Tenté par une soirée littéraire québécoise ?
Publié le 09/08/2017  sur OUEST-FRANCE


Nicolas Paquin, écrivain québécois

Le comité de jumelage Coutances - La Pocatière (Québec) en lien avec le Cercle de généalogie et d'histoire locale, dont Patrick Fissot, historien local est vice-président, organise une soirée littéraire québécoise aux Unelles, vendredi.
Elle sera animée par Nicolas Paquin, écrivain-historien, auteur de romans d'aventure. À travers une galerie de portraits de soldats québécois de la Seconde Guerre mondiale, il évoque le courage de ces héros canadiens.
« Ces personnages lui ont inspiré sa trilogie, Les Volontaires. Il a d'ailleurs rencontré et écouté Gilbert Boulanger, aviateur ayant survolé Coutances à la Libération et Suzanne Génereux, sa soeur vivant à La Pocatière », soulignent les responsables coutançais.
Le tome II de cette trilogie, Combattre dans l'ombre, a reçu le prix d'excellence de l'année, décerné par le Conseil des arts du Québec. L'auteur présentera ce livre à Coutances, support d'une conversation avec lui.

Vendredi 11 août, à 20 h 30. Entrée gratuite.